Non seulement est-elle belle et douée, mais en plus on ne compte plus ses réalisations ultra luxe. Il faut dire que Stéphanie Coutas a été élevée en Asie dans un environnement particulièrement raffiné qui a affûté son goût pour les atmosphères sophistiquées.
Après une première carrière réussie dans la mode, la jeune designer se lance dans la décoration. Une passion qui se mue en un métier qu’elle embrasse intuitivement en autodidacte éclairée.
Son style éclectique lui offre d’incroyables opportunités aux quatre coins du monde. Stéphanie est capable de concevoir un palais des mille et une nuits au Moyen-Orient, un yacht ultra futuriste, des hôtels et restaurants sur tous les continents, et puis bien sûr des appartements de rêve notamment dans sa ville fétiche, Paris.
La Ville Lumière évoque non seulement l’univers de la mode, mais également le paradis des métiers d’art. Ces métiers pour lesquels la designer porte un intérêt tout particulier, y recourant dans toutes ses réalisations. L’autre passion de Stéphanie Coutas concerne les matériaux nobles: marbre, laque, cristal de roche, nacre, marqueterie mais aussi cuir, soie et métaux … La décoratrice ne lésine pas sur la qualité, sans pour autant que le mélange de matières ne soit trop clinquant. Les intérieurs restent élégants et sobres… enfin d’une sobriété sophistiquée dirons-nous!
Le plus est qu’elle a su acquérir la fibre du business, chose rare chez les artistes. Elle est quasiment la pionnière des appartements clé en main. Une inspiration qu’elle a eue tout naturellement lorsqu’elle a vendu son propre appartement avec tout son mobilier. L’idée lui est venue alors d’acheter des appartements ou bureaux très bien situés dans des quartiers cossus et de les décorer, mobilier compris, comme si elle allait y habiter. L’acquéreur, s’il le souhaite, n’a plus qu’à y poser ses vêtements et sa brosse à dents!
Simple opération de marchand de bien? Pas tout à fait! Car, pour Stéphanie, il ne s’agit pas uniquement de «retaper» un appartement pour le revendre avec une plus-value mais de réellement penser un foyer avec une âme en choisissant jusqu’au plus petit objet de mobilier, d’œuvre d’art ou de parure de lit.
R.C.