La voici en femme oiseau dans le conte «Miss Peregrine’s Home for Peculiar Children». Une œuvre qui réveille la part d’enfance qui sommeille en chacun de nous.
C’est dans un palace parisien que Femme Magazine a rencontré Eva Green.
Une deuxième expérience sous la direction de Tim Burton. Une complicité particulière est-elle née entre vous à l’issue de ces collaborations?
La complicité était déjà née suite à notre travail dans «Dark Shadows». Ce qui fait que tout a été plus évident et plus fluide lors du tournage de «Miss Peregrine». Cependant je dois avouer que ce film était beaucoup plus compliqué à réaliser que le premier, ceci de par son histoire et les trucages et effets spéciaux qu’il a nécessités, tout comme le fait de tourner avec des enfants. Tim (Burton) avait vraiment plus d’un chat à fouetter sur le plateau, il n’était donc pas question de se laisser aller au confort d’une quelconque complicité, mais au contraire de la mettre au service de ce que cette œuvre exigeait comme efforts.
Propos recueillis à Paris par Nabil Massad