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Kate Beckinsale

Kate Beckinsale AFP.

Joue la comédie

«Absolutely Anything» est un film «absolument» délirant puisqu’il raconte l’histoire d’un homme à qui des extraterrestres confient un pouvoir surnaturel lui permettant d’exaucer tous ses vœux. La comédie est réalisée par Terry Jones, l’un des membres les plus éminents du fameux groupe Monty Python aux côtés de John Cleese et de Terry Gilliam. Délire garanti à travers des situations absurdes menées tambour battant par le comédien Simon Pegg aux côtés de la pétillante Kate Beckinsale débarrassée de ses oripeaux et maquillages futuristes de la série «Underworld».  À Paris pour présenter le film aux médias, la belle Anglaise s’est volontiers prêté au jeu des questions-réponses.

Parlez-nous du personnage que vous incarnez dans «Absolutely Anything».
J’y interprète une jeune femme qui plaît à son voisin du dessous mais qui ne s’intéresse guère à lui. Et puis un jour, cet homme se retrouve doté de pouvoirs étranges lui permettant de transformer ses rêves les plus fous en réalité. Il en profite pour séduire la voisine en question jusqu’au jour où elle découvre la supercherie. Mais comme elle a appris à le connaître entre-temps, elle s’aperçoit que même sans ses pouvoirs surnaturels, le jeune homme mérite bien que l’on s’intéresse à sa personne.

Comment avez-vous vécu le tournage de ce film sous la direction de Terry Jones?
Terry Jones n’est pas seulement acteur dans d’autres œuvres, il est essentiellement l’un des fondateurs des Monty Python, ce groupe mythique qui a œuvré tout au long des années 70 et 80 et qui a fait de l’absurde sa spécialité. Pas étonnant que leurs sketchs et films soient en permanence et partout rediffusés encore de nos jours. Pour répondre à votre question, le tournage s’est déroulé dans la plus pure tradition des Monty Python, à savoir dans une ambiance de folie avec un metteur en scène, Jones pour ne pas le nommer, qui improvisait au rythme d’une idée à la minute. Il fallait en permanence rejouer les scènes en y modifiant des éléments puisque chaque nouvelle idée venait chasser la précédente et était a priori plus drôle. Simon Pegg qui jouait le rôle masculin principal fait partie de cette même école du rire par l’absurde, il n’a par conséquent éprouvé aucune difficulté à se fondre dans le moule, alors que moi qui suis normalement plus habituée à une forme de jeu plus douce et romantique, ou alors très dure comme dans les films d’action, j’ai mis un peu de temps avant de trouver ma place sur ce tournage. Mais au final j’en suis sortie satisfaite et enrichie d’une expérience plutôt rare pour une actrice.

Peut-on considérer ce film comme un retour pour vous vers un cinéma plus classique par rapport à la série des «Underworld» ou autres films futuristes?
Plus classique? Je ne sais pas puisque très franchement je ne trouve rien de typiquement classique dans «Absolutely Anything»! Au contraire, ce film est un condensé de folie et je pense que «Underworld» ou «Van Helsing» ou encore «Total Recall» bien que fantastiques et futuristes, sont bien plus «sages» que «Absolutely Anything». En tout cas, je ne raisonne pas en ces termes et serais prête à jouer aussi bien dans de nouveaux volets de «Underworld» que dans des comédies ou des drames et des films de guerre, etc. N’oubliez pas que j’ai joué dans  «Much Ado About Nothing» inspiré de Shakespeare, dans «Pearl Harbor» dont l’action se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, et dans «Aviator» de Martin Scorsese où j’incarnais Ava Gardner. On ne peut pas dire que je sois une comédienne spécialisée dans un genre plus que dans un autre.

Mais la série des «Underworld» marque votre carrière. L’avez-vous acceptée au départ parce que c’est votre mari Len Wiseman qui l’a produite et en a réalisé certains épisodes?
Au départ non, puisque nous n’étions pas mariés et nous ne connaissions même pas vraiment lorsqu’on m’a proposé de participer au premier volet. Par la suite, l’influence de mon partenaire dans la vie était évidente. Je n’ai pas eu envie de lui dire non, surtout que les scénarios me plaisaient et que les épisodes sortis sur les écrans plaisaient au public. C’est toujours le cas d’ailleurs, et c’est pourquoi je serai certainement dans le prochain volet, mais que Len (Wiseman, son mari, ndlr) ne mettra pas en scène.

Propos recueillis à Paris par Nabil Massad

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