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Ma nouvelle tête pour la rentrée

Ma nouvelle tête pour la rentrée © Agencja FREE / Alamy.

Quand vient la fin de l’été… il est temps de prendre soin de sa chevelure, malmenée par les baignades, les UV, le vent, le chlore et la pollution. Comment réparer les dégâts? En offrant à nos cheveux une cure d’hydratation intense, une coupe à la mode et une couleur pour rafraîchir le tout.

Objectif # 1:
Prendre de bonnes habitudes

Se laver les cheveux tous les jours, ce n’est pas bon! Le shampooing est un produit détergent. Plus on frotte le cuir chevelu, plus on agresse le cheveu, et en plus les glandes sébacées vont s’activer et produire de plus en plus de sébum. Multiplier les shampooings aura pour effet de graisser le cheveu plus vite. C’est un cercle vicieux. Pour espacer les lavages, ne pas hésiter à s’armer de patience, et d’un bon shampooing sec.
Après le shampooing, on sèche doucement avec une serviette sans tordre dans tous les sens. L’idéal serait de laisser les cheveux sécher à l’air libre, d’utiliser un peigne au lieu d’une brosse pour ne pas casser les fibres capillaires. Commencer par les pointes et remonter au fur et à mesure.
Garder les lisseurs, les fers à boucler et autres sèche-cheveux pour les grandes occasions. La chaleur cause des dommages irrémédiables, un produit de protection au moment du brushing est, par conséquent, un must.
Astuce. Rincer soigneusement. C’est une étape essentielle car, mal rincée, la fibre capillaire a tendance à s’alourdir et à capter la poussière. Comme on le fait pour le shampooing, on rince méticuleusement le masque en l’émulsionnant avec le bout des doigts. Si on souhaite rajouter un effet de brillance, on a recours à un vinaigre de rinçage. Son pH acide aide à refermer les écailles.

J.M.K.

 

 

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Editorial

Pas d’eau, pas de lumière, pas d’oxygène

Avec ses 2000 sources et ses 40 cours d’eau dont 16 fleuves, le Liban est (plutôt était) connu pour être un pays béni des dieux en matière de ressources hydrauliques. À un point tel qu’on l’avait surnommé “le château d’eau du Moyen-Orient”. Mais hélas! Autre temps, autres mœurs!